Périphéries

Les faubourgs 

Ces faubourgs viennent agrandir les centre-bourgs, essentiellement le long des voies d’accès, surtout au XIXème siècle et début XXème. L’habitat y est prédominant, sans réelle organisation d’ensemble. 
 
Les constructions se disposent le long de la route, avec un léger retrait, en ordre discontinu très serré. Les parcelles sont de taille modeste, mais on peut souvent faire le tour de la maison. 
 

 

 

 

 

 

Les groupes d’habitation 

Aux abords des usines, fin XIXème siècle et début XXème, des opérations d’ensemble ont été implantées autour des usines ou des fabriques.

Cela constitue les premiers exemples d’habitat groupé ou d’habitat en bande. 

    

 

 

 

 

Le pavillonnaire 

Le développement des bourgs s’est fait le long des voies d’accès et autour des centres de manière mesurée, puis sous forme de lotissements pavillonnaires dès la moitié du XXème siècle. Ces quartiers n’accueillent qu’une seule fonction, l’habitat, et aucune autre. 
 
Les opérations se juxtaposent sans nécessairement être reliées entre elles (voie en impasse), les maisons sont implantées au milieu des parcelles. Chacun dispose d’un jardin, mais la consommation d’espace est très importante. Les rues et espaces publics sont délimités par les clôtures. 
Selon la date de création, le tracé de la voie change: orthogonal, en courbes, avec des impasses qui se terminent par des raquettes, les opérations se juxtaposent sans liaisons entre elles. 
La voiture est un élément essentiel de la vie des habitants qui peuvent être éloi-gnés de plusieurs kilomètres du centre bourg.